Une serveuse au Québec pète sa coche car elle a reçu 10 % de pourboire sur une facture de 700 $

C’est une histoire qui fait réagir tout le Québec ! Une serveuse a littéralement pété sa coche après avoir reçu à peine 10 % de pourboire sur une facture de 700 $.

Sur les réseaux sociaux, son témoignage est rapidement devenu viral, soulevant un débat éternel : combien devrait-on vraiment laisser de pourboire au restaurant ?

Selon ce qu’elle raconte, le groupe de clients aurait passé plusieurs heures à table, profitant d’un service qu’ils qualifiaient eux-mêmes d’« exceptionnel ». Malgré les sourires, l’attention et la rapidité du service, ils ont quitté en laissant seulement 70 $ de pourboire.
« Je suis tellement tannée, ça n’a pas de sens ! », écrit la jeune femme. « Ils ont dit que c’était le meilleur service qu’ils avaient jamais eu, mais ils laissent juste 10 %… Voyons donc ! »

Son gérant, voulant comprendre la situation, serait même allé voir la table avant leur départ. Selon la serveuse, il leur aurait gentiment rappelé que dans ce restaurant, un service exceptionnel mérite un pourboire d’au moins 20 %.

La réponse des clients ? Un simple « k k mais on s’en criss », avant de quitter le restaurant en laissant la modique somme.

Cette histoire relance un débat de société bien québécois : doit-on toujours laisser 15 à 20 % de pourboire ? Certains soutiennent qu’un pourboire devrait refléter la satisfaction du service reçu, alors que d’autres croient qu’il s’agit d’une norme de respect envers les travailleurs du milieu de la restauration.

Comme le répétait un internaute sous la publication : « Si t’as les moyens de payer 700 $ pour un souper, t’as les moyens de donner 20 % de tip. »

Au Québec, une grande partie du revenu des serveuses dépend directement des pourboires. Avec le coût de la vie qui ne cesse d’augmenter, beaucoup d’entre elles soulignent que ce genre de situation est décourageante. « On donne tout pour offrir un bon service, mais quand les clients ne reconnaissent pas notre travail, c’est fâchant », écrit une autre serveuse en commentaire.

Qu’on soit du côté des clients ou des employés, cette histoire met en lumière un phénomène de plus en plus courant : le manque de reconnaissance du service humain dans un monde où tout coûte plus cher. Une chose est sûre : au Québec, les discussions sur les pourboires ne sont pas prêtes de s’éteindre !

Mis à jour le 30 Décembre 2025 10:26 am