Une dame au Québec en colère car elle a reçu une contravention de 486$ car elle textait à un feu rouge

L’histoire de Johanne Goyette, partagée sur Facebook, secoue le Québec et relance le débat sur l’utilisation du téléphone cellulaire au volant.

Johanne confie avoir reçu une contravention salée de 486 $ pour avoir simplement consulté son appareil alors qu’elle était arrêtée à un feu rouge. Elle publie son constat d’infraction en guise de réflexion, espérant que son expérience serve de leçon à d’autres automobilistes.

Les réactions des internautes ne tardent pas : la majorité soutiennent la sévérité de cette mesure, dénonçant l’ampleur du problème. Eric StHubert s’indigne : « Le monde sur le cell au volant, un vrai cancer. Devrait coûter 1000$ 12 pts. » D’autres, comme Audrey De, estiment que la pénalité devrait même être plus élevée : « 5 points et 500$, ça devrait être plus. Lâchez vos foutus cell sur la route. »

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Certains nuancent toutefois la situation. Mike Tremblay propose que le ticket différencie ceux qui textent en roulant et ceux à l’arrêt, mais il admet qu’il faut assumer les conséquences en toute connaissance de cause. Rolland Lebrun ajoute qu’au-delà de l’amende, les points d’inaptitude font grimper les frais d’assurance, ce qui complique encore la situation des conducteurs pris en faute.

Johanne Dupuis et d’autres appuient la rigueur du système : « Tant mieux, le cell est rendu une plaie au volant. » Il ressort des commentaires un consensus : le cellulaire au volant est devenu aussi dangereux que l’alcool, et la tolérance du public est nulle.

Ce dialogue vibrant montre que la prise de conscience est réelle et que la population québécoise souhaite un encadrement strict pour contrer ce fléau routier. L’amende de 486 $ est certes dissuasive, mais pour certains, elle n’est qu’un premier pas vers une route plus sécuritaire. Parmi la frustration, le débat citoyen prouve que la sécurité collective est une priorité partagée.

Mis à jour le 4 novembre 2025 10:21 am

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