Isabelle Desjardins cloue le bec à un entrepreneur qui lui envoyait de la haine

L’animatrice et entrepreneure québécoise Isabelle Desjardins a une nouvelle fois démontré sa détermination à dénoncer la haine ordinaire sur les réseaux sociaux.

Dans une récente story Instagram, elle a choisi d’exposer publiquement un message particulièrement odieux reçu d’un entrepreneur du Québec, preuve que le cyberharcèlement et la misogynie demeurent tristement présents dans le quotidien des femmes en vue.

Dans la publication, on peut lire le message reçu : « Combien la photo ? J’aimerais l’utiliser pour laver le trou de c*l de mon chien ? » — un propos aussi vulgaire que gratuit. Plutôt que de garder le silence, Isabelle Desjardins a décidé de mettre en lumière ce commentaire, en affichant sa propre stratégie de réaction : ne pas se taire et refuser la banalisation de telles attaques.

Ce geste s’inscrit dans une série d’interventions récentes d’Isabelle, notamment depuis la création de son compte OnlyFans, qui a fait couler beaucoup d’encre ces derniers mois. Souvent ciblée pour ses choix professionnels et sa démarche créative, elle a reçu des vagues de critiques dès l’annonce de sa nouvelle plateforme, même si elle a été claire sur la nature de ses contenus — « simple, des jolies photos, des moments amusants, rien d’explicite ».​​

Face à l’incompréhension ou aux jugements, Isabelle a préféré répondre avec transparence : « Merci à mes polis et gentils abonnés OF 🙂 je suis choyée !!! J’ai quelques dames en plus ouuuhhh. Et pour ceux qui veulent du trash faites juste passer devant chez GARAGE. » Cette posture, loin de se limiter à une défense individuelle, invite aussi ses abonnés à s’interroger sur la responsabilité collective : pourquoi tolérer le manque de respect, surtout envers les femmes qui s’affirment et innovent dans un espace public ?

Isabelle Desjardins, ex-VJ de MusiquePlus, s’érige ainsi contre la bêtise et provoque la réflexion sur les limites de la critique en ligne, soutenue par une communauté fidèle, prête à lever la voix contre la haine ordinaire et la honte sociale.​​​

Crédit: Isabelle Desjardins

Mis à jour le 26 octobre 2025 9:51 am