Un homme au Québec pète sa coche car son épicerie au Maxi lui a coûté trop cher

@nadeauexplore, tout juste revenu de Barcelone, s’indigne devant le prix exorbitant de son épicerie au Maxi.

Pour deux sacs quasiment vides, quelques légumes, des œufs et du pain, il a fallu débourser 95 $. L’expérience, loin d’être un cas isolé, symbolise le ras-le-bol grandissant face à la hausse du coût de la vie au Québec.

Ce consommateur frustré ne s’est pas arrêté là. Il raconte avoir patienté plus d’une demi-heure devant les caisses en libre-service, avec seulement deux employés actifs pour servir toute la clientèle. La disparition du service personnalisé, combinée à la difficulté d’obtenir de l’aide, soulève pour lui une question fondamentale : où va notre société en 2025 ?

À Barcelone, se souvient-il, trois sacs d’épicerie bien remplis revenaient à peine à 22 €, une différence qui frappe fort lorsque l’on compare les deux réalités.

Outre l’augmentation des prix, la désorganisation perçue dans les supermarchés – peu d’employés, files interminables aux caisses libres, attentes répétées pour obtenir de l’aide – accentue le sentiment d’impuissance. Pour de plus en plus de clients, le rapport qualité/prix est en chute libre malgré les promesses de produits locaux à prix abordables. Les efforts des grandes chaînes pour moderniser leurs installations et augmenter les choix proposés ne semblent pas apaiser la frustration liée à la montée des dépenses.

Ce cri du cœur résonne auprès d’une clientèle qui n’en peut plus de voir son panier d’épicerie se réduire à vue d’œil, alors que le budget, lui, explose. Il met en lumière un problème de fond : comment retrouver un équilibre entre le pouvoir d’achat et la qualité du service, dans un Québec où l’épicerie du quotidien devient un véritable luxe ?

@nadeauexplore L'épicerie au Québec en 2025 à pu de Criss de bon sens!! sérieux y faut en parler encore plus et faire quelque chose!!! #epicerie #quebec #inflation #prix #wtf ♬ son original – Nadeau

Mis à jour le 5 octobre 2025 5:09 am