L’histoire rocambolesque entre une influenceuse québécoise et un joueur des Canadiens de Montréal continue de faire parler, et cette fois, c’est un nouveau clin d’œil appuyé qui relance les discussions.
Françoise Belzile, qui avait déjà secoué les réseaux au printemps dernier en révélant anonymement avoir été l’une des 7 femmes fréquentées simultanément par un athlète de la célèbre équipe, semble ne pas avoir fini de faire jaser.
Rappel des faits : Françoise avait raconté avec franchise et amertume que leur relation, qui avait pourtant démarré sous les meilleurs auspices – entre textos intenses et un séjour à Tulum – avait rapidement tourné au cauchemar. Elle avait découvert que cet homme, loin d’être un simple séducteur maladroit, jouait la carte de la manipulation en menant sept autres liaisons au même moment, sans la moindre honte ni remords.
Et comme si son passé ne suffisait pas à alimenter l’intérêt public, la récente publication de Françoise a suscité une nouvelle vague de spéculations. Sur une photo où elle cache son visage derrière une casquette arborant fièrement le logo du Canadien de Montréal, elle lance un sous-titre provocateur : « À qui est cette casquette ? » Une question qui ne laisse guère de place au doute, compte tenu de son histoire personnelle et de son franc-parler renommé.
Certains y voient un simple couvre-chef emprunté à un ami ou peut-être à un nouvel intérêt amoureux fan de hockey. Mais connaissant la manière dont Françoise manie les réseaux sociaux pour marquer les esprits, il est très difficile de croire à une coïncidence anodine. Ce geste, volontaire ou inconscient, relance immanquablement le souvenir des agissements du joueur désormais sous le feu des critiques.
Cette nouvelle étape dans cette saga, aux allures de feuilleton, montre que même sans nommer explicitement, Françoise reste une voix puissante capable de faire parler—et de rappeler à certains que les erreurs du passé ne s’oublient pas si facilement. Espérons que ce chapitre ne donnera pas lieu à d’autres rebondissements amers.