Voici @janttee3 sur TikTok. Cet homme habite à Vancouver et est venu au Québec pour quelques jours pour le travail. Il s’est loué une Tesla et a fait Québec jusqu’à Toronto. Il a détaillé combien ça lui a pris de temps… et surtout: Combien de temps il s’est arrêté pour recharger son véhicule électrique.
En tant que propriétaire de véhicule électrique, j’ai loué une Tesla pendant mon voyage à Toronto et à Québec. Les attentes étaient élevées car j’utilise une voiture électrique pour mes trajets quotidiens à Vancouver.
Cependant, j’ai rapidement réalisé que la Tesla nécessitait une recharge tous les 450 kilomètres, à condition de rester en dessous de 110 kilomètres par heure. Notre trajet de 7 heures s’est transformé en un périple de 10 heures en raison des arrêts de recharge.
En fait, nous avons dû faire trois arrêts pour recharger complètement le véhicule, chacun prenant environ une heure.
L’expérience a été entachée par la frustration de tomber sur des bornes de recharge défectueuses, ce qui a provoqué des moments de panique et d’anxiété à mesure que nos niveaux de batterie baissaient dangereusement.
C’est là que le réseau de superchargeurs de Tesla se démarque vraiment. En comparaison avec d’autres marques de véhicules électriques, l’infrastructure de recharge de Tesla est indéniablement plus robuste.
Son vaste réseau de superchargeurs s’étend à divers endroits et est exceptionnellement fiable, rendant les voyages longue distance plus réalisables. Cependant, même avec la meilleure infrastructure de recharge pour Tesla, le temps investi pour parcourir plus de 700 kilomètres ne semblait pas toujours pratique.
Nous ne pouvions pas nous empêcher de penser qu’un véhicule traditionnel à essence aurait pu effectuer le trajet aller-retour en beaucoup moins de temps, potentiellement en économisant un total de 6 heures.
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De plus, il est important de noter que les batteries des véhicules électriques sont affectées par les hivers rigoureux du Canada. L’autonomie de la batterie a tendance à diminuer par temps très froid, ce qui peut compliquer davantage les longs trajets. C’est une considération essentielle pour ceux qui envisagent un véhicule électrique pour leurs voyages routiers au Québec et dans d’autres régions au climat froid.