Une influenceuse bien connue sur Instagram a fait un tabac avec une vidéo où elle pleure l’extinction des « hommes bourrées de Red Flags », ces gars fun, chaotiques et un brin toxiques qui mettaient du piquant dans les relations.
« Quelqu’un peut-il m’expliquer ce qui est arrivé aux hommes toxiques ? Les hommes le fun et bourrées de Red Flags ? », lance-t-elle, nostalgique d’une époque où les mecs osaient être imparfaits, séducteurs et imprévisibles. Pour elle, ces types-là étaient les plus captivants : ils brisaient les cœurs, mais on s’en souvenait avec un sourire.
Elle regrette un virage générationnel : les hommes d’aujourd’hui seraient devenus ennuyeux, obsédés par des idéaux rigides qui tuent la spontanéité.
« Ces hommes étaient toujours les plus intéressants et fun à côtoyer. Bien sûr, ils étaient un peu chaotiques et ils pouvaient te briser le cœur, mais en y repensant, tu te dis : Wow, c’était vraiment fun. »
Au lieu de l’adrénaline des flirts intenses, on aurait droit à des relations tièdes, sans risque ni feu d’artifice.
Son cri du cœur tape dans le mille : beaucoup de femmes fantasment encore ces bad boys qui faisaient vibrer, malgré les cœurs brisés. Elle idéalise ces souvenirs chaotiques comme des aventures mémorables, opposés à la gentillesse aseptisée qui frise l’ennui. Les commentaires explosent : certaines approuvent, avouant préférer le danger au sage ; d’autres défendent les hommes respectueux, arguant que la toxicité n’est pas synonyme de fun.
Cette complainte reflète un débat plus large sur la dating culture post-pandémie : où est passé l’équilibre entre audace et respect ? Elle n’appelle pas à la violence, mais à retrouver cette étincelle imprévisible qui rendait les rencontres excitantes. Dans un monde de profils Tinder lisses, son appel aux « hommes Red Flags » résonne comme une ode à l’imperfection assumée, même si elle sait que le cœur brisé suit souvent.
Imagine this is your future wife and while with you she reminisces about all the men she banged… pic.twitter.com/YPxvCudlhf
— Brian Atlas (@BrianAtlas) December 8, 2025
