@thepaigelangley, une jeune femme de 24 ans vivant encore chez ses parents, a choqué le web en révélant publiquement ses 180 000 $ de dettes accumulées, un mélange de prêts étudiants fédéraux et privés, de prêt auto et de cartes de crédit.
Diplômée d’un baccalauréat en juin 2024 après cinq ans d’études intensives – cours d’été à temps plein et jobs multiples –, elle n’a reçu que peu de bourses non remboursables. « Voici combien de dettes j’ai. J’ai environ 180 000 $ de dettes en prêts étudiants fédéraux et privés, prêt auto, cartes de crédit. »
Son cauchemar financier s’est cristallisé en découvrant les paiements mensuels : 1 800 $ pour Sallie Mae (son prêt privé, réduit temporairement à 1 033 $ pour 12 mois), 287 $ pour les prêts fédéraux, 202 $ pour la voiture, sans compter 150-160 $ pour les cartes. « Sallie Mae veut 1 800 $ par mois de moi. C’est juste Sallie Mae. » À 41 600 $ par an avant impôts, c’est écrasant. Elle a pleuré en réalisant, faute d’éducation financière : « J’ai regardé mes paiements de prêts et j’ai pleuré parce qu’on ne m’a pas enseigné la littératie financière. »
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Fraîche diplômée, elle a choisi un job à temps partiel pour profiter de l’été, ignorant l’ampleur de la dette. Post-novembre, la réalité l’a rattrapée : 500 candidatures pour un poste à 20 $/h ne nécessitant pas son diplôme. « J’ai postulé pendant trois mois à plus de 500 jobs avant d’en trouver un. Ce job ne requiert même pas mon diplôme. » Burnout mental en prime – dépression saisonnière, perte de sens –, elle a quitté pour deux jobs à temps partiel au même salaire, priorisant sa santé.
Désormais, elle alerte : vérifiez vos prêts tôt, optez pour community college, apprenez la finance. « Apprenez-vous la littératie financière avant de contracter des prêts. » Rêve debt-free à 30 ans, elle envisage DoorDash pour tips, attaque-t-elle les intérêts élevés d’abord ou les plus petits soldes ? « Quelle est la meilleure façon d’éliminer ces prêts ? » Malgré un voyage prévu en avril, elle assume ses erreurs sans victimisation.
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Son témoignage brut humanise la crise des prêts étudiants : diplômée, chez ses parents, piégée par des paiements impossibles. « Mon crédit est aussi pourri à cause de tous ces prêts. » À 24 ans, elle transforme la honte en appel à l’aide communautaire, rappelant que les dettes ne jugent personne – elles se gèrent, un paiement à la fois.
@thepaigelangley LETS TALK ABOUT IT! help each other out with advice, educate yourself on financial literacy. is education really worth this now? #education #american #collegeloans #debt #middleclass #publicschool #oregon #minimumwage #jobmarket #fyp ♬ original sound – thepaigelangley