Max Piccinini, influenceur et entrepreneur français ultra-populaire, fait un choix radical qui divise : ses enfants ne mettront jamais les pieds à l’école traditionnelle.
Dans une vidéo et un post qui cartonnent, il dénonce un système obsolète qui forme des « robots médiocres » incapables de réussir dans la vraie vie. « Pourquoi nos enfants n’iront jamais à l’école, JAMAIS de la vie, sauf si c’est une école entrepreneur comme nous on le conçoit. » Pour lui, l’école publique enseigne 80% de choses inutiles, apprises par des profs sans succès ni bonheur. (via PetitPetitGamin)
Son argument principal ? L’école ignore l’essentiel : l’argent, la liberté, le bonheur et l’entrepreneuriat. « Ils apprennent de gens qui n’ont pas de succès, ils apprennent pas de gens qui sont heureux et ils apprennent des choses en plus qui ne sont pas importantes. » Max refuse que ses enfants soient connectés à un moule qui produit des adultes frustrés. L’argent, loin d’être tabou, offre choix, voyages et qualité de vie. « L’argent est important. Il permet d’avoir du choix, de voyager, d’avoir une meilleure qualité de vie. Le pouvoir, apprendre à être heureux. Je ne sais pas où on apprend ça à l’école. »
Dans son écrit, il radicalise : « L’école enseigne tout… sauf ce qui compte vraiment dans une vie : l’argent, la liberté, le bonheur, l’entrepreneuriat. Je ne veux pas que mes enfants apprennent des systèmes qui rendent les adultes malheureux. Je veux qu’ils apprennent de gens qui vivent ce qu’ils enseignent. » Fini la récitation stérile ; place à une formation pour réussir, par des mentors qui incarnent le succès.
Cette position choque mais séduit les anti-système. Max prône l’école entrepreneuriale, où on apprend le concret : business, mindset gagnant, autonomie. Critiqué pour élitisme – « Facile à dire quand on a les moyens » –, il rétorque que l’école gratuite produit de la médiocrité généralisée. En France, championne des savoirs inutiles selon lui, on excelle à former des employés dociles, pas des leaders.
Son cri du cœur tape dans l’air du temps : homeschooling en hausse, critiques du système scolaire post-pandémie. « L’école forme à réciter. Moi, je veux les former à réussir. » Max mise sur des enfants libres, créatifs, blindés pour l’avenir. Reste à voir si son modèle tiendra ses promesses, mais une chose est sûre : il refuse le formatage. Pour lui, l’école traditionnelle condamne à la survie ; son alternative vise l’excellence. Un pari osé qui fait jaser parents et éducateurs.
@maxpiccinini_officiel Pourquoi je ne mettrai jamais mes enfants à l’école. Parce que l’école enseigne tout… sauf ce qui compte vraiment dans une vie : l’argent, la liberté, le bonheur, l’entrepreneuriat. Je ne veux pas que mes enfants apprennent des systèmes qui rendent les adultes malheureux. Je veux qu’ils apprennent de gens qui vivent ce qu’ils enseignent. L’école forme à réciter. Moi, je veux les former à réussir.