Un échange déchirant entre un couple a enflammé les réseaux sociaux, où un père craque en larmes en avouant qu’il n’est pas capable de travailler trois heures par semaine.
La mère, déjà épuisée par deux emplois pour subvenir aux besoins de leur petit bébé, le supplie simplement d’un peu d’aide financière. Lui, en revanche, veut qu’elle prenne un troisième travail pendant qu’il reste à la maison s’occuper de l’enfant, car gérer le bébé lui semble insurmontable. « Je ne peux pas m’occuper du bébé. », sanglote-t-il, tandis qu’elle répond : « Je fais tout ce que je peux pour soutenir notre enfant. J’ai juste besoin d’un peu d’aide. »
La dispute dégénère rapidement. L’homme, qui n’a travaillé que trois heures au lieu des cinq prévues, décrit cela comme un cauchemar et refuse d’en faire plus. « Non, c’était un cauchemar tout le temps. Je ne suis pas fait pour ça. » La femme, qui rêve d’être mère au foyer mais ne peut pas se le permettre, explose : « Je ne suis pas faite pour travailler deux emplois, et tu veux que j’en fasse trois ? » Elle l’encourage à postuler ailleurs si c’est trop dur, mais il insiste : « Peux-tu juste faire des heures supplémentaires, s’il te plaît ? » Un conflit brutal sur les rôles parentaux.
Cette vidéo choque car elle met en lumière un tabou : les pères qui abandonnent trop vite le travail pendant que les mères portent tout le fardeau. Dans un contexte où les congés parentaux sont généreux, de nombreux couples peinent face à l’inflation et aux coûts des garderies. Les commentaires affluent : certains soutiennent la mère, d’autres défendent l’homme en arguant que s’occuper d’un bébé est épuisant à temps plein.
Ce témoignage rappelle que la parentalité doit être un effort partagé, à 50-50, et non un relais où l’un s’effondre après trois heures. La mère cherche juste du soutien pour les factures, pas un partenaire domestique qui se plaint. « Je te demande de l’aide constamment. » Leur confrontation brute suscite le débat : échec masculin ou burnout réel ? Elle invite à réfléchir à l’équilibre familial dans un monde où élever un enfant exige de trimer dur. Au final, leur bébé mérite des parents unis et solides.
“My husband refuses to work part time job when I’m working TWO full time jobs”
He wants his wife to take a third job to support the family while he only works for three hours — a grown man trying to live like a dependent and calling it leadership. pic.twitter.com/soHot3gQS5
— Uppercut (@UppercutBuzz) December 8, 2025