Hélène Boudreau, connue sous le nom de La Fille de l’UQAM, a récemment multiplié les réponses énigmatiques et franches sur sa situation actuelle lors de séries de stories sur Instagram.
Sa décision claire : elle ne souhaite pas révéler où elle vit dorénavant, et elle explique pourquoi avec beaucoup d’émotion et de sincérité.
Dans sa première story, Hélène confie combien elle apprécie le fait de pouvoir vivre sans être reconnue. “ Je suis personne et personne ne me reconnait. Personne ne me demande de me voir. Personne ne me force à faire de la publicité. Personne ne me juge, personne ne sait mon travail, personne ne sait mon passé, mon présent ou mon futur. Personne ne me demande d’aller souper, personne ne me demande pour rien, et ça me rend heureuse.” Cette liberté retrouvée semble cruciale pour elle après son expérience dans l’œil du public.
Hélène évoque aussi en toute transparence son projet d’achat d’une maison dans un pays autre que le Québec. Elle révèle être en train d’étudier plusieurs options fiscales et migratoires, assumant une vie à cheval entre différents lieux. “Je ne suis jamais à ma résidence fiscale”, confie-t-elle, affirmant l’importance de protéger son intimité.
Hélène Boudreau
Son refus de divulguer sa localisation est aussi motivé par des menaces et des personnes mal intentionnées dans son entourage. Comme elle l’explique, “Il y a des personnes qui me veulent du mal et font tout pour rendre ma vie un enfer… C’est une des raisons pourquoi j’ai quitté le pays.” Cette lucidité derrière son départ explique son besoin de discretion absolue.
Enfin, face à l’obstination de certains à vouloir tout savoir, elle manifeste une certaine exaspération : « Mais pourquoi ça vous gruge et vous obsède à autant le savoir? Vous allez mieux dormir? C’est vraiment abusé… je suis jamais correct pour vous donc j’adore que je sois un fantôme en quelque part dans ce monde. »
Hélène Boudreau
Avec ces paroles, La Fille de l’UQAM affirme fermement son choix de protéger son intimité et de se reconstruire loin des jugements, dans un équilibre fragile mais nécessaire pour son bien-être.