Isabelle Desjardins explique pourquoi elle n’est plus du tout prude

Invitée au podcast Filles de Joie, Isabelle Desjardins a abordé sans complexe son rapport à la pudeur et comment ses expériences à l’étranger ont renforcé son aisance.

L’animatrice se remémore son séjour à Moscou, où elle a été frappée par la différence culturelle en ce qui concerne l’attitude face au corps dans les vestiaires de gym. « Les filles russes n’ont aucune gêne. Là-bas, on se change sans se poser de questions, c’est complètement naturel », décrit-elle.

Cette différence l’a amenée à revoir sa propre approche. Elle admet qu’avant de vivre en Russie, elle était beaucoup plus discrète, un peu comme la majorité des Québécois qui hésitent à se dévêtir devant d’autres personnes, même dans des contextes banals comme les centres sportifs.

Le choc culturel, selon Isabelle, fut au départ déstabilisant : « J’étais un peu prude avant, mais là, il fallait s’adapter, il fallait simplement comprendre que là-bas, c’est secondaire. »

Ce changement de regard s’est également confirmé lors de ses passages… où les saunas mixtes et l’esprit libre sont monnaie courante. Elle explique que ce sont des environnements où la simplicité et l’acceptation du corps priment sur la gêne : « Il faut simplement ne pas être gêné, il faut s’adapter à la culture et tout devient plus simple. »

Isabelle partage ce message dans un esprit d’ouverture, souhaitant encourager les autres à adopter une vision plus décomplexée, saine et positive de soi-même.

Mis à jour le 29 octobre 2025 10:17 am