Fraîchement installée à l’étranger, Hélène Boudreau – mieux connue comme La Fille de l’UQAM – partage sans filtre les péripéties rocambolesques de son déménagement, qui n’a pas seulement impliqué ses valises… mais surtout son chat, Cookie.
Loin d’un simple voyage avec animal de compagnie, Hélène a dévoilé sur Instagram à quel point l’exportation de son félin a tourné au cauchemar administratif et financier.
Dans ses stories, elle explique avoir dû batailler pendant des mois pour réunir tous les papiers nécessaires : passeport, vaccins multiples, tests de rage et de sang, certificat d’exportation, puce, vermifuge, révision vétérinaire, formulaires d’avion… Tout cela coûte aussi cher qu’impressionnant. Hélène détaille même les 4 heures d’auto nécessaires pour faire signer certains papiers à l’autre bout de la ville, et la psychose constante que « quelque chose ne soit pas correct ».
Pour un chat de race exotique au museau plat qui ne peut voler simplement en cabine, la logistique devient titanesque. Elle confie avoir manqué son vol à deux reprises à cause de Cookie, et perdu jusqu’à 4 000 $ pour des démarches avortées à cause d’un formulaire mal rempli. Total de la facture : plus de 12 000 $, une somme qui lui a valu, ironie du sort, le statut du chat « le plus cher du monde ».
Hélène, loin de se plaindre de l’effort investi, sensibilise les curieux : « Vous pensez que voyager c’est compliqué ? Essayez d’exporter un animal ! ». Entre anxiété, paperasserie interminable et crise de larmes dans les aéroports, elle avoue avoir vécu un vrai « enfer » et être soulagée que Cookie ait finalement pu changer de pays.
Hélène Boudreau – @iamhely
Ces confessions illustrent toute la complexité – et le coût parfois exorbitant – des voyages internationaux impliquant des animaux de compagnie, surtout pour des races à besoins spécifiques. Pour Hélène, ce périple marque un nouveau chapitre, mais aussi un avertissement à tous ceux qui envisagent de traverser les frontières avec leur fidèle compagnon.
