Une fille connue juge les personnes qui capotent un peu trop sur Harry Potter

Sur TikTok, une créatrice populaire a récemment déclenché un débat animé en partageant ses impressions sur les fans les plus dévoués de l’univers Harry Potter.

Elle avoue d’entrée de jeu : « Je ne veux pas être une personne détestable… mais à chaque fois que je vois quelqu’un avec un tatouage ou un autocollant Harry Potter, je me demande vraiment si cette personne aime Harry Potter à ce point-là.» Cette remarque, lancée sur un ton mi-amusé, mi-critique, a trouvé un écho particulier chez de nombreux internautes.

Pour elle, aduler la saga littéraire ou cinématographique jusqu’à s’orner de symboles permanents ou à décorer sa voiture laisse perplexe. Elle se questionne sur ce qui pousse certains adultes à afficher une telle passion, suggérant qu’il y a une frontière floue entre amour sincère d’une œuvre et obsession infantile. Cette observation se rapproche d’autres avis médiatisés : l’actrice Miriam Margolyes, qui incarnait le professeur Chourave, a elle-même récemment confié dans un podcast que l’engouement persistant des adultes l’inquiétait, jugeant que « certains devraient être passés à autre chose ».​

Mais loin d’un simple jugement, la TikTokeuse amène ses abonnés à une réflexion sur l’évolution des passions, des identités et de la nostalgie. Elle souligne que si le plaisir de relire une saga ou de revisiter un univers magique reste compréhensible, le culte permanent de la sorcellerie, des Quidditch parties ou des tatouages « Expecto Patronum » soulève des questions sur la place de la fiction chez l’adulte.

Les réactions ont été nombreuses, oscillant entre défense farouche des Potterheads et autocritique bon enfant. Dans tous les cas, la vidéo aura provoqué une réflexion sur l’intensité des fandoms et la façon dont les références de jeunesse continuent de façonner les goûts, les communautés et parfois… les tatouages pour la vie.​

Mis à jour le 27 octobre 2025 9:32 am