Après une année marquée par le deuil, la remise en question et une succession de changements majeurs, Khate Lessard amorce un nouveau chapitre de sa vie amoureuse.
La jeune femme, qu’on a d’abord connue par sa participation à Occupation Double, a traversé une période d’introspection profonde, ponctuée par la perte de son père, une rupture poignante après cinq ans de relation, un déménagement, et le lancement de nouveaux projets artistiques. Ce tourbillon d’émotions l’a amenée à prendre du recul sur sa vision des relations et à avouer sur les réseaux son désir d’aimer à nouveau, bien qu’elle ait préféré y aller prudemment.
Cette semaine, c’est tout en douceur que Khate a choisi de présenter à ses abonnés celui qui illumine désormais ses journées. Sans annonce spectaculaire ni mots grandiloquents, elle a publié une série de clichés automnaux où on la voit main dans la main, souriant, profitant simplement de la saison.
La légende propose la simplicité d’« Un joli début d’automne », évocation limpide d’un bonheur qui n’a pas besoin de superflu pour être sincère.
Quelques heures plus tard, Khate a partagé une story bouleversante de franchise, livrant à cœur ouvert son état d’esprit :
« Franchement si j’ai compris un truc cette année, c’est que je fuis souvent les relations par peur d’être blessée ou même de trouver toujours mieux. Je réfléchis toujours trop et ça me bloque, ça me ferme des portes et je m’empêche de vivre à fond. Le plus important c’est de trouver le bonheur et la simplicité peu importe où tu la trouves! Ben présentement quelqu’un me fait sentir VRAIMENT bien!! Sooo why not!! ».
Ce nouveau départ amoureux montre toute la vulnérabilité et la maturité acquises au fil des mois. On sent chez Khate le désir de savourer chaque instant sans se laisser freiner par la crainte ou le passé. Désormais, elle avance main dans la main, littéralement et symboliquement, vers la lumière d’une nouvelle histoire qui ne fait que commencer. On lui souhaite tout simplement de trouver la stabilité et le bonheur qu’elle mérite.
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