Amy Kupps, véritable sensation sur OnlyFans, fait beaucoup parler d’elle depuis qu’elle a récemment déclaré qu’elle est « trop belle » pour décrocher un emploi traditionnel.
Selon ses dires, sa beauté serait loin d’être un atout dans le monde du travail classique : elle raconte constamment faire face à des défis lors des entrevues, se heurtant à la gêne, l’intimidation ou l’inconfort de la part des employeurs et des collègues potentiels.
Amy explique que sa « beauté fatale » s’avère être un frein plus qu’un avantage. Lorsqu’elle passe des entrevues, les recruteurs – surtout les hommes – finissent par la fixer intensément, leurs regards descendant souvent bien plus bas que ses yeux. Au lieu de s’attarder à ses compétences ou à son expérience, on lui répète qu’elle devrait plutôt envisager une carrière de mannequin, la cataloguant rapidement sans creuser davantage. Selon elle, ce sex-appeal hors norme suscite autant de fascination que de malaise, au point de nuire à ses ambitions hors des plateformes de contenu pour adultes.
Ce constat l’a profondément découragée. Après de multiples tentatives infructueuses pour décrocher un travail régulier, Amy Kupps a admis qu’elle sentait n’avoir d’autre option que de poursuivre son chemin sur OnlyFans, où son apparence physique, au lieu d’être un obstacle, lui permet de bâtir une carrière prospère. Elle exprime cependant une pointe de regret, notant que devoir « dealer » avec cette image n’est pas un choix véritablement libre, mais une adaptation à une société qui la juge avant même de l’écouter.
L’histoire d’Amy relance le débat sur les préjugés liés à l’apparence dans le monde du travail et pose une question troublante : peut-on réellement être « trop beau » pour vivre une carrière normale, ou n’est-ce qu’un miroir grossissant des stigmas encore présents en 2025?