Sur TikTok, @emilie.theway, l’ex d’un humoriste célèbre au Québec, a récemment pris la parole avec émotion pour dévoiler une situation qui la trouble profondément.
Malgré le fait que le père de sa fille ait refait sa vie, ce qu’elle accepte pleinement, elle en vient à dénoncer la nouvelle compagne de celui-ci. Cette dernière, qui tient un compte OnlyFans, utilise Instagram pour promouvoir son contenu, incluant des photos osées — un choix que la maman n’a aucun problème à respecter en soi. Cependant, c’est la présence répétée du visage de sa fille de quatre ans dans ces publications qui fait toute la controverse.
Émilie révèle que la nouvelle blonde de son ex a posté à plusieurs reprises des photos montrant clairement le visage de son enfant, à tel point que la maman elle-même et la grand-mère partagent des images de la fillette, aggravant la situation. Malgré ses requêtes répétées, y compris une mise en demeure, pour que ces images soient retirées ou floutées, la situation reste inchangée, ce qui bouleverse profondément Émilie. Elle exprime ainsi un sentiment d’incompréhension face à l’attitude du père, qui refuse de voir là un problème moral.
Dans un cri du cœur puissant, la maman questionne ce qui est acceptable : « Est-ce que c’est moi qui ai un problème ? » Son message interpelle autant sur le respect de la vie privée d’un enfant que sur la frontière entre liberté individuelle et protection parentale. Émilie ne comprend pas comment on peut tolérer que le visage d’une petite fille se retrouve exposé sur une plateforme promouvant du contenu explicitement réservé aux adultes.
Ce témoignage met en lumière un débat délicat autour des droits des enfants sur les réseaux sociaux, particulièrement lorsque les parents ne sont pas en accord. Il appelle à réfléchir sur la responsabilité des adultes dans la protection de l’image des plus jeunes face à la diffusion de contenus sensibles.
Ce cri du cœur d’Émilie suscite un écho important chez les internautes, partagés entre la liberté d’expression des adultes et le droit fondamental à la confidentialité des enfants, soulignant un enjeu contemporain sensible.
@emilie.theway Prise deux parce que le son a été supprimé du premier vidéo à cause d’une chanson ! Votre avis !?