L’avocate bien connue au Québec @vp.law1 a expliqué de façon claire pourquoi un geste aussi grossier que faire un doigt d’honneur est en réalité protégé par un droit constitutionnel fondamental : la liberté d’expression.
Elle s’appuie sur une décision récente d’un juge de la Cour du Québec dans une affaire de chicane de voisinage. Un homme était accusé de harcèlement criminel pour avoir fait un doigt d’honneur à son voisin en situation conflictuelle.
L’enjeu central du litige était de savoir si ce geste pouvait constituer une infraction criminelle ou un acte de harcèlement. Dans sa décision, le juge a tranché avec fermeté : « Faire un doigt d’honneur, ce n’est pas civil, ce n’est pas poli, ce n’est pas courtois, mais cela n’engage pas la responsabilité criminelle ».
Pour l’avocate, cette décision est importante parce qu’elle souligne que le fait d’offenser quelqu’un n’est pas un crime. C’est même un élément essentiel de la liberté d’expression, un droit inscrit dans la Charte des droits et libertés qui appartient à tous les Canadiens. Certes, le geste peut être considéré comme impoli ou discourtois, mais il ne peut pas être puni comme une infraction pénale.
Cette protection juridique rappelle à tous que la liberté d’expression englobe aussi des actes ou paroles choquants ou blessants, et qu’il faut accepter un certain niveau d’offense pour préserver ce droit. @vp.law1 invite d’ailleurs ses abonnés à partager leur avis sur ce sujet dans les commentaires, car il touche une zone sensible entre le respect des autres et la défense des libertés individuelles.
En résumé, au Québec en 2025, faire un doigt d’honneur reste un droit constitutionnel, reflet de la valeur démocratique accordée à la liberté d’expression, même dans sa forme la moins civilisée.
@vp.law1 Un doigt d'honneur est un droit constitutionnel ? Et toi, qu'en penses-tu ? #lawyer #droit #justice #criminallaw #legal ♬ original sound – vp.law1