Invitée au podcast @prendsunbreak, Hélène Boudreau, mieux connue sous le surnom de La Fille de l’UQAM, est revenue sur l’une des plus grosses polémiques qui l’a touchée au cours des dernières années.
L’influenceuse affirme que des signalements ont même été faits à la DPJ (Direction de la protection de la jeunesse) à la suite de certaines vidéos publiées avec une amie.
« Sania a eu la DPJ chez elle deux fois. Même la DPJ trouvait ça ridicule, mais ils étaient obligés de faire des check-up parce qu’ils avaient reçu tellement d’appels », explique Hélène en soulignant que la controverse avait pris des proportions démesurées. Selon elle, plus de 50 signalements auraient été effectués concernant ces contenus.
La vague d’indignation a aussi visé directement Hélène Boudreau. « Moi, j’ai reçu une pétition pour me canceller. Il y avait 500 signataires », raconte-t-elle. Malgré la pression, elle assure qu’aucune campagne d’annulation ne pourrait réellement la faire disparaître : « Même si je perds mon Instagram, mon TikTok, tous mes réseaux sociaux, je vais m’en recréer d’autres. C’est impossible de me faire canceller. »
Mais ce qui l’a particulièrement marquée, ce sont les accusations graves qu’elle dit avoir subies. « On a même appelé la DPJ sur moi. Mais j’ai pas d’enfant. On me traitait de pé**phile… ça, c’est allé vraiment trop loin », affirme-t-elle, visiblement encore choquée par la violence des propos.
Si la jeune femme admet que ses choix publics suscitent souvent la controverse, elle considère que cette histoire illustre les excès des réseaux sociaux, où les rumeurs et les jugements peuvent rapidement virer à la diffamation.
Avec ce témoignage, Hélène Boudreau rappelle qu’au-delà de la provocation, il existe une limite entre la critique et les accusations destructrices. Et cette fois, dit-elle, certains ont largement franchi la ligne.
@prendsunbreak Ils ont appelé la DPJ sans qu’elle ait d’enfants ?!
Voici le podcast intégral: