Dans une déclaration pour le moins surprenante partagée sur les réseaux sociaux, une Québécoise a lancé un sujet qui risque de diviser : selon elle, les parents séparés auraient « une meilleure vie » que ceux qui vivent encore en couple avec leurs enfants à temps plein.
Elle explique son point de vue sans détour : lorsqu’on est séparé, on partage la garde, ce qui signifie que l’on passe seulement une partie du temps avec ses enfants. « Une semaine sur deux ou en 2-2-5, tu as tes petits humains que tu aimes le plus au monde », précise-t-elle. Mais l’autre partie du temps, on récupère un espace de liberté qui serait plus difficile à obtenir dans une famille unie. (via PetitPetitGamin)
Selon elle, cette alternance permet de profiter du meilleur des deux mondes : d’un côté, les moments précieux avec ses enfants ; de l’autre, du temps pour soi, pour voir des amis, voyager ou même se concentrer sur une nouvelle relation. Elle raconte que plusieurs de ses amis séparés partagent ce sentiment d’équilibre retrouvé.
Elle souligne aussi que lorsqu’on entame une nouvelle relation avec quelqu’un qui n’a pas d’enfant, la dynamique devient plus simple : « Quand il est avec toi, il est 100 % ton chum ». Finis, selon elle, les conflits liés à l’école, à la garderie ou aux activités : le couple peut se concentrer sur ses propres moments, sans la pression constante de la vie familiale au quotidien.
Sa réflexion, volontairement provocatrice, s’inscrit dans un débat plus large sur la parentalité moderne et la recherche d’un équilibre entre vie de famille et vie personnelle. Certains y verront une vision réaliste et décomplexée, d’autres jugeront cette perspective égoïste ou réductrice.
Une chose est sûre : son message fait déjà réagir, car il remet en question l’image idéalisée de la famille traditionnelle et ouvre la porte à une réflexion sur la manière dont on vit et organise la parentalité en 2025.
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