C’est une vague de choc et d’émotion qui a déferlé sur Instagram ce week-end, alors qu’Isabelle Desjardins, connue du grand public au Québec, a choisi de sortir du silence pour révéler toute la douleur accumulée depuis sa rupture avec le hockeyeur David Desharnais.
Dans un texte bouleversant, elle confie avoir littéralement « tout abandonné » : carrière, passions, amis, famille, et même une grande partie de ses biens matériels, pour tenter de construire un avenir en Russie avec l’homme qu’elle aimait – et leur bébé.
Mais après seulement quelques jours dans ce nouveau pays, Isabelle découvre l’impensable : son conjoint la trompe. Le choc est tel qu’elle dit avoir ressenti la mort de son cœur, une cassure profonde : « Morte vivante. » La révélation ne vient même pas de David lui-même, mais d’un mystérieux message reçu. Malgré tout, elle tente de recoller les morceaux en ayant un deuxième enfant, mais admet qu’elle n’était déjà plus elle-même, complètement éteinte.
La séparation ne lui a laissé aucun répit. Isabelle dénonce l’absence de soutien, le non-respect des engagements, et une relation qui, selon elle, n’a fait qu’empirer sa détresse psychologique. « Il m’a fait payer cher de partir », accuse-t-elle, tout en avouant que, depuis 2018, elle n’a jamais retrouvé la paix. Elle parle d’années faites de maltraitance morale, de regards qui blessent, de paroles qui détruisent, et d’un sentiment d’abandon total.
Dans ce témoignage, Isabelle refuse les conseils de se taire, au contraire : elle martèle que, tant qu’on la percevra comme la « méchante mère », elle continuera de dévoiler sa vérité, brisant ainsi le tabou autour des blessures invisibles laissées par une relation toxique. C’est un cri du cœur puissant, une demande de compréhension et de soutien, adressés à tous ceux qui savent lire entre les lignes de la détresse.
Avec cette sortie publique, Isabelle Desjardins reprend le contrôle de son récit et ouvre un espace pour le dialogue sur la souffrance psychologique post-rupture, brisant le silence au profit de la résilience.