Après avoir ébranlé le Québec avec son témoignage bouleversant, Marie Maxime, influenceuse parmi les plus suivies de la province, est revenue à la charge avec deux stories particulièrement franches.
Dans la première, elle répond aux jugements et aux incompréhensions entourant sa situation, en détaillant les raisons pour lesquelles elle n’a rien soupçonné pendant quatre longs mois de relation. Sa transparence et sa vulnérabilité frappent fort.
Dans cette story, Marie Maxime avoue sans détour : « Avant de me juger… le gars n’habitait même pas dans la même ville que moi. Il m’avait dit qu’il était séparé, que sa femme n’habitait plus dans leur maison. » Elle explique qu’elle respectait leur situation, au point de ne jamais mettre les pieds chez eux tant que la maison n’était pas vendue. C’est son amoureux qui se déplaçait toujours jusqu’à elle, ce qui la confortait dans l’idée qu’il disait vrai. Elle poursuit : « On se parlait une quarantaine de fois par jour, souvent même lorsqu’il était chez lui… jamais je ne me suis doutée de quoi que ce soit. »
Marie Maxime ne cache rien de ses états d’âme et de la naïveté dans laquelle elle a été plongée par ce qu’elle définit aujourd’hui comme du « love bombing » : « J’ai été victime de love bombing. J’ai été aveuglée par cette histoire que je croyais sincère et saine. » Elle explique que cet homme incarnait pour elle la sécurité, la stabilité, et qu’il la choyait tout en cultivant chez elle une confiance profonde. Pourtant, tout cela n’était que façade. Avec maturité, elle ajoute : « Finalement, tout ça n’était qu’une illusion. Mais à la fin, le plus grand perdant, c’est lui. »
Elle a aussi partagé cette conversation qui veut tout dire:
Lucide et forte, Marie Maxime conclut : « Ce sera mon dernier message sur le sujet. Quand tu es dans ce genre de relation, tu deviens aveuglée… et j’y ai vraiment cru. » Par ces mots, elle met les choses au clair et invite d’autres à ne pas se blâmer de trop aimer, rappelant que se protéger émotionnellement n’est jamais un manque de lucidité, mais une preuve de courage.