Luc Poirier, homme d’affaires reconnu pour son flair en immobilier, partage une philosophie de vie qui détonne dans un univers souvent associé à l’accumulation et à la matérialité.
Dans une récente vidéo TikTok, il aborde avec simplicité et honnêteté son rapport détaché aux possessions matérielles et au passé, affirmant que ce sont la vision du futur et la capacité à se projeter qui nourrissent véritablement son ambition.
Pour lui, la nostalgie n’a jamais réellement occupé de place. Il respecte ce que le passé lui a appris, mais refuse de s’y enliser : « J’essaye de m’inspirer, d’apprendre du passé, mais j’ai toujours une vision vers le futur. » Cette attitude se retrouve dans ses choix financiers : alors que d’autres investissent dans des biens matériels comme des immeubles, Luc préfère miser sur le terrain, une ressource qui ne livre son plein potentiel qu’à travers la patience et une vision à long terme.
Penser sur cinq, dix, voire vingt ans lui permet de se détacher de l’immédiateté des satisfactions matérielles.
Luc Poirier souligne aussi qu’il n’entretient pas de lien d’attachement à ses objets, pas même ses autos : il les apprécie certes, mais leur perte ne l’affecterait pas outre mesure. « Même si je perdrais demain matin, ce ne serait pas la fin du monde », confie-t-il. Ce détachement témoigne d’une confiance profonde en ses capacités à aller de l’avant et à se réinventer, peu importe les circonstances.
Sa recette ? Toujours garder le regard tourné vers l’avenir, se fixer des objectifs et s’offrir, lorsqu’un but est atteint, une petite récompense symbolique — non pas pour la possession en elle-même, mais pour célébrer une étape franchie. Pour Luc, c’est l’élan, le rêve et la projection qui importent : « Toujours plus haut, toujours plus loin ». Voilà le secret d’une vie libérée des chaînes du matérialisme, centrée sur la croissance personnelle et les nouveaux horizons.
@lucpoirier7 À bien y réfléchir, vivre dans le passé est selon moi l’un des plus grands freins dans la vie. Vous en pensez quoi ?