Sur TikTok, la créatrice @isatandstared a récemment partagé une expérience qui a fait réagir de nombreux internautes : elle s’est fait renvoyer de son emploi de gardienne pour un motif qu’elle juge pour le moins discutable.
Le contexte ? Alors qu’elle gardait un jeune enfant, elle a décidé de faire une sieste durant la période de repos prévue pour le bébé, expliquant dans sa vidéo la logique derrière ce choix.
Sur son témoignage, la gardienne raconte que le bambin, installé dans son lit de bébé à l’heure de la sieste, n’a pas dormi comme à l’habitude. Toutefois, il ne pleurait pas et semblait calme dans son berceau, sans danger apparent. Considérant que l’enfant était en sécurité et qu’il s’agissait de sa plage horaire de repos, elle a profité elle-même de ce moment pour s’allonger un peu et reprendre des forces, histoire d’offrir une meilleure qualité de présence après la sieste. C’est alors que la mère de l’enfant, via les caméras ou un babyphone, a constaté que la gardienne dormait alors que son fils était éveillé. Elle l’a immédiatement appelée pour lui demander une explication, puis a exprimé son mécontentement : « Je te paie pour surveiller mon enfant, pas pour dormir. Si mon enfant est réveillé, tu dois l’être aussi. »
Malgré la défense de la gardienne, qui expliquait qu’elle voulait respecter la routine de l’enfant et maintenir un moment calme même sans sommeil réel, la décision est tombée : elle a été congédiée sur-le-champ. Cette anecdote soulève un débat sur les attentes envers les gardiens et gardiennes d’enfants, mais aussi sur la notion de « présence active » versus la gestion de l’autonomie et des moments calmes pour les petits.
L’histoire d’@isatandstared met en lumière les divergences entre parents et gardiens quant à la définition de la surveillance, de la sécurité et du repos, déclenchant une réflexion sur la confiance, les attentes et les limites du rôle de chacun.
@isatandstared