Dans une vidéo récemment partagée sur TikTok, @erikgravel_officiel exprime sa frustration face à une expérience déconcertante avec une banque au Québec.
Alors qu’il souhaitait simplement effectuer une traite bancaire de 50 000 $ pour transférer des fonds vers un autre compte, il s’est heurté à une demande de justification qui a rapidement tourné au conflit.
Selon son témoignage, il s’est rendu au comptoir de la banque — dont il préfère ne pas dévoiler le nom, précisant simplement qu’elle commence par un « B » et finit par un « O » — et a demandé à faire une traite. Dès la première question du préposé, qui voulait connaître la raison du retrait, l’homme a réagi avec irritation : « Ce n’est pas de tes affaires. » Malgré cette réponse ferme, la banque a insisté, justifiant cette enquête par une procédure interne, ce qui n’a fait qu’accentuer le malaise.
Face à cette situation, il souligne le grand contraste entre la réalité du client et les lourdeurs administratives bancaires : « On dirait qu’on est rendus communistes, l’argent que tu as dans ton compte n’est plus à toi. » Cette remarque souligne la perte de liberté perçue dans la gestion de ses propres finances, où une somme certaine et disponible sur son propre compte doit désormais être justifiée de manière détaillée.
Le mécontentement exprimé par @erikgravel_officiel illustre une inquiétude plus large ressentie par plusieurs citoyens : celle d’un contrôle accru des banques sur les opérations bancaires, même lorsque l’on parle d’argent personnel que l’on souhaite librement déplacer. Les enquêtes sur l’origine des fonds sont justifiées par des règles de conformité et de lutte contre le blanchiment, mais pour le client, cela peut apparaître comme une intrusion excessive et un manque de respect.
@erikgravel_officiel Voir si la banque doit savoir les paiements que je reçois dans mon compte ça viens de où ? De quoi je me mêle #banque #communisme #argent #quebec ♬ son original – Erik Gravel❤️