Chaque année, le Salon de l’Auto attire les passionnés de voitures de luxe et de collection. Parmi les exposants les plus remarqués, il y a bien sûr Luc Poirier, entrepreneur bien connu et collectionneur de Ferrari.
Lors d’une récente entrevue, Luc Poirier a révélé que le transport et l’exposition de ses précieuses Ferrari au Salon de l’Auto représentent un investissement considérable.
Contrairement à ce que l’on pourrait croire, il ne s’agit pas d’une opération rentable. « Ça ne me coûte rien. Ça me coûte de l’argent parce que déplacer les autos ici avec les assurances, les employés, tout ça, ça me coûte plus cher que ce qu’ils me donnent. Beaucoup, beaucoup plus cher », confie-t-il en toute transparence.
Le montant? Entre 60 000 $ et 80 000 $ de sa poche pour chaque édition du Salon. Cette somme couvre le transport spécialisé des véhicules, les assurances haut de gamme, la logistique et la rémunération du personnel. Sur trois ans, Luc Poirier estime avoir investi près de 240 000 $ uniquement pour présenter sa collection au public.
Pourquoi un tel engagement financier? Pour Poirier, la passion prime sur la rentabilité. « Les vrais collectionneurs, normalement, ils gardent chez eux… On ne les voit jamais, ces genre d’autos-là. » Pourtant, il choisit de partager sa passion avec les visiteurs, offrant ainsi une occasion rare d’admirer de près des Ferrari d’exception.
Ce geste généreux, loin d’être motivé par le profit, souligne l’importance de la passion et du partage dans l’univers des collectionneurs automobiles. Luc Poirier incarne ainsi l’esprit du Salon de l’Auto : rassembler, émerveiller et inspirer la communauté québécoise autour de l’automobile d’exception.
@cravecanadafr Autant de Ferrari au salon de l'auto, ça coûte combien ? #LUCLEMILLIARDAIRE ♬ son original – Crave en Français