La Fille de l’UQAM dévoile l’énorme salaire qu’elle se faisait en tant que tatoueuse

Hélène Boudreau, désormais célèbre sous le nom de « La Fille de l’UQAM », a récemment ouvert une fenêtre sur son passé professionnel en répondant sans détour à ses abonnés sur Instagram.

Dans ses stories, Hélène précise qu’à ses débuts dans le tatouage, elle réalisait des mois à 5 000 $ et parfois jusqu’à 10 000 $ de revenus, surtout pendant la haute saison estivale où la demande explosait grâce aux walk-ins.

Elle souligne que ces montants étaient atteints alors qu’elle était encore étudiante, jonglant entre ses cours universitaires, ses devoirs et un horaire déjà très chargé. Ce rythme effréné lui a permis de financer ses études et de subvenir à ses besoins sans dépendre d’un emploi traditionnel ou de l’aide de ses parents.

Face aux critiques sur le manque de « vrai job » ou d’ambition, Hélène répond avec fierté qu’elle possède un baccalauréat en arts visuels et médiatiques ainsi qu’un mineur en enseignement des arts. Son expérience prouve qu’il est possible, grâce au talent et à la persévérance, de transformer une passion artistique en véritable réussite financière. Elle rappelle également que plusieurs de ses amis tatoueurs parviennent à gagner entre 30 000 $ et 50 000 $ par mois, démontrant le potentiel souvent sous-estimé de cette industrie.

En partageant son parcours, Hélène Boudreau souhaite inspirer les jeunes à croire en leurs talents et à ne pas se laisser décourager par les stéréotypes liés aux métiers artistiques. Son témoignage authentique et transparent lève le voile sur une réalité méconnue : il est possible de réussir et de s’épanouir financièrement en dehors des sentiers battus, pourvu qu’on ose suivre sa passion et travailler sans relâche.

Crédit: Hélène Boudreau

Mis à jour le 29 juin 2025 9:39 am