Une diplômée universitaire au Québec a appliqué à 15 places différentes et n’a reçu aucune réponse

Cette jeune diplômée québécoise vit une période particulièrement difficile de sa vie d’adulte. Après avoir obtenu son baccalauréat en psychologie, elle a choisi de prendre une année sabbatique pour acquérir de l’expérience pratique et tester son intérêt pour le domaine avant de poursuivre ses études supérieures.

Cette décision, bien que réfléchie, se transforme maintenant en source de stress considérable. (via PetitPetitGamin)

Malgré l’envoi de plus de 15 CV à différentes entreprises, accompagnés de lettres de présentation et de références, elle n’a reçu aucun retour. Cette situation la frustre énormément, surtout dans un contexte où les médias et réseaux sociaux clament constamment qu’il y a une pénurie de main-d’œuvre et que les gens ne veulent plus travailler. Elle se trouve dans cette position paradoxale d’être qualifiée, motivée et disponible, mais complètement ignorée par les employeurs potentiels.

Cette jeune diplômée québécoise vit une période particulièrement difficile de sa vie d’adulte. Après avoir obtenu son baccalauréat en psychologie, elle a choisi de prendre une année sabbatique pour acquérir de l’expérience pratique et tester son intérêt pour le domaine avant de poursuivre ses études supérieures. Cette décision, bien qu’réfléchie, se transforme maintenant en source de stress considérable.

Malgré l’envoi de plus de 15 CV à différentes entreprises, accompagnés de lettres de présentation et de références, elle n’a reçu aucun retour. Cette situation la frustre énormément, surtout dans un contexte où les médias et réseaux sociaux clament constamment qu’il y a une pénurie de main-d’œuvre et que les gens ne veulent plus travailler. Elle se trouve dans cette position paradoxale d’être qualifiée, motivée et disponible, mais complètement ignorée par les employeurs potentiels.

Le cercle vicieux de l’expérience requise constitue un autre aspect particulièrement décourageant de sa recherche d’emploi. Les entreprises exigent généralement trois à cinq ans d’expérience dans le domaine spécifique, mais aucune ne semble prête à donner leur chance aux débutants. Elle souligne l’absurdité de cette situation : comment peut-elle acquérir l’expérience demandée si personne ne lui permet d’en obtenir une première? Elle considère pourtant sa formation récente comme un atout majeur, représentant les connaissances les plus actuelles du marché.

Sa situation devient d’autant plus pressante qu’elle déménage dans douze jours et cherche activement du travail depuis quatre semaines. Elle a exploré toutes les avenues possibles : Indeed, Glassdoor, son réseau familial et ses proches, sans succès. Cette recherche infructueuse ajoute considérablement à son niveau de stress déjà élevé.

Ce qui la décourage le plus, c’est l’impression que les employeurs ne lui donnent même pas l’opportunité de démontrer sa personnalité et sa motivation lors d’entretiens. Elle possède pourtant d’excellentes compétences de communication et deux années d’expérience dans les centres jeunesse avec une clientèle difficile, ce qui témoigne de sa capacité d’adaptation et de résilience.

Cette situation la pousse au bord des larmes, car elle ressent un profond sentiment de non-reconnaissance. Elle ne demande pas l’impossible, simplement un emploi qui valorise ses compétences et lui permette de grandir professionnellement. Elle termine son témoignage en remettant en question la véracité des discours médiatiques sur la pénurie de main-d’œuvre, particulièrement dans le domaine des services sociaux où elle souhaite évoluer.

@maeva.nault JE COMPRENDS PAS!?! Mais qu’est ce que notre système d’embauche?!? Comment tu peut dire que les jeunes ne veulent pas travailler quand te ne retourne pas les appels de ceux qui le veulent?! Je veux juste travailler svp #fyp #fypシ #foryou #trend #foryoupage #quebec #trending #embauche #systemeembauche #canada #jobdevie #etudiante #psychologie #baccalauréat ♬ son original – Maeva Nault

Mis à jour le 30 mai 2025 9:43 am