Lottie, mère de trois filles (en cinquième année, troisième année et maternelle), a suscité un débat en ligne pour avoir admis qu’elle fait parfois les devoirs de ses enfants lorsqu’ils sont trop occupés avec leurs activités parascolaires.
Cette approche non conventionnelle divise l’opinion des parents.
Sa décision repose sur sa préoccupation face au stress que subissent ses filles. Impliquées dans plusieurs activités comme le cheerleading et les sports, elles rentrent souvent épuisées à la maison. Lottie explique qu’elle refuse de les voir s’angoisser « pour quatre problèmes de mathématiques qu’elles n’ont pas le temps de faire ». Elle va même jusqu’à réaliser la majorité des projets scolaires, estimant que certaines tâches assignées sont trop complexes pour des enfants de leur âge.
Malgré cette position controversée sur les devoirs, Lottie maintient des principes éducatifs fermes dans d’autres domaines. Elle se décrit comme une mère qui encourage la résilience – « frotte un peu de terre dessus » quand ses filles tombent – et qui souhaite élever des femmes fortes. Son objectif principal est de construire des relations basées sur l’honnêteté avec ses enfants.
Les réactions parentales à son approche varient considérablement. Certains parents approuvent, reconnaissant la pression excessive que les devoirs peuvent exercer sur les jeunes enfants qui ont besoin de temps pour se détendre et jouer après l’école. D’autres critiquent vivement cette méthode, craignant qu’elle n’encourage la paresse et n’entrave le développement de compétences essentielles comme la gestion du temps et la résolution de problèmes.
Cette controverse soulève des questions plus larges sur la pertinence des politiques de devoirs pour les jeunes élèves et sur l’équilibre idéal entre soutien parental et développement de l’autonomie chez l’enfant.
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