Dans les magasins d’électronique du Québec, surtout en période des fêtes, les employés font face à des situations rocambolesques qui défient l’imagination.
Hier, un client a contacté le service à la clientèle après
l’achat d’un laptop neuf, paniqué parce que « l’internet ne
fonctionne pas ». « Sans internet, mon laptop ne me sert à rien
! », a-t-il lancé, exigeant une réparation immédiate.
Le vendeur, calme et professionnel, a tenté d’expliquer que le
problème ne venait pas de l’appareil, mais probablement de la
configuration internet à la maison. Le client, complètement raisin,
a répliqué : « C’EST À VOUS QUE JE L’AI ACHETÉ, ALORS C’EST
VOUS QUI DEVEZ LE RÉPARER ! » Pire encore, quand on lui a
suggéré d’appeler son fournisseur comme Bell ou Vidéotron, il a
demandé : « Combien vous chargez pour un internet ? On ne vend
pas d’internet, monsieur. Je dois aller où pour acheter un internet
? ». Il a avoué n’avoir aucun abonnement, pensant le faire «
là là sur internet » – un cercle vicieux hilarant !
Cette anecdote, typique des histoires drôles partagées sur les réseaux québécois, illustre les confusions courantes avec la techno. Au Québec, des fournisseurs comme Fizz ou Bell recommandent de redémarrer le modem ou vérifier les voyants pour diagnostiquer ces pépins, plutôt que d’accuser le laptop. Travailler dans le service client, c’est un peu comme être un super-héros sans cape… mais avec beaucoup plus de plaintes, résume un humoriste local.
Ces échanges viraux rappellent l’importance de l’éducation numérique. Le client est finalement parti s’informer chez un opérateur, laissant le vendeur secoué mais amusé. Une leçon pour tous : avant d’acheter un gadget high-tech, assurez-vous d’avoir une connexion internet fonctionnelle !
