Une fille est sur Tinder uniquement pour qu’un gars paie son loyer ce mois-ci

Tout commence comme un match banal : le gars salue la fille, la complimente sur sa description et lui demande comment va sa journée.

Elle répond froidement, « rien de spécial », sans chercher à relancer la discussion. Très vite, l’échange bascule lorsqu’elle lui demande s’il a « pas mal d’argent qui sert à rien », laissant déjà filtrer ses véritables intentions.

La jeune femme se met alors à raconter qu’il lui manque 125 $ pour payer son loyer et que c’est sa « dernière chance » pour éviter de tout perdre. Elle ne propose ni rencontre, ni réelle conversation, elle demande simplement : « peux-tu juste me donner 125 $ ». Le gars, interloqué, lui demande si c’est bien son vrai compte Tinder et réalise qu’elle utilise l’application uniquement pour solliciter de l’argent.

Face à son refus poli, elle tente de le faire culpabiliser en expliquant qu’« il n’y a aucun problème à aider une personne qui a besoin d’aide » et en l’insultant à demi-mot s’il ne paie pas. Elle va même jusqu’à invoquer le karma, en sous-entendant que le malheur le rattrapera s’il ne sort pas sa carte. Cette inversion des rôles – où la personne qui se fait quémander devient soudainement le méchant – illustre parfaitement la dynamique toxique de ce type d’interaction.

Voici la conversation:

L’homme finit par lui répondre qu’elle pourrait « simplement travailler au lieu de passer du temps sur Tinder », remettant en perspective la situation avec une lucidité brutale. Cette phrase clôt l’échange et agit comme un rappel : une application de rencontre n’est pas un plan de financement collectif. Derrière cette anecdote se cache un avertissement moderne sur les dérives des rencontres en ligne et sur la nécessité de reconnaître rapidement les comportements opportunistes.

Mis à jour le 21 Décembre 2025 9:33 am