Olivier Primeau s’est retrouvé dans une position plutôt embarrassante après avoir critiqué publiquement les règlements de la Fête nationale du Québec.
Dans un premier temps, Primeau a exprimé son indignation face aux restrictions imposées pour les célébrations de la Saint-Jean-Baptiste, les qualifiant de ridicules. Il s’est moqué de la longue liste d’interdictions qui incluait notamment les animaux, les bouteilles de verre, les chaises pliantes, les glacières, les bicyclettes, les trottinettes et même les feux d’artifice.
Cependant, la situation a pris une tournure ironique lorsqu’un internaute, Felipe, a décidé de vérifier les règlements du propre établissement de Primeau. En partageant une capture d’écran des règles du Beach Club, dont Primeau est propriétaire, Felipe a révélé que l’établissement impose des restrictions encore plus strictes que celles critiquées pour la Fête nationale.
La liste des interdictions du Beach Club s’avère effectivement impressionnante : armes, substances illégales, glacières, bouteilles réutilisables autres qu’en plastique, matériel de camping, chaises pliantes, matériel photographique professionnel, animaux de compagnie, pointeurs laser, jouets aquatiques, parapluies, mégaphones, ballons de sport, et même les sacs non transparents de plus de 7,5 pouces.
Cette révélation a provoqué l’hilarité sur les réseaux sociaux, Primeau lui-même reconnaissant avec humour le côté absurde de la situation. L’incident illustre parfaitement comment les réseaux sociaux peuvent rapidement exposer les contradictions, rappelant l’importance de la cohérence entre nos critiques publiques et nos propres pratiques.
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C’est rendu ridicule… comment ça peut arriver et qui a décidé ça #lol https://t.co/sp5oLc4G1U
— Olivier Primeau (@olivier_primeau) June 20, 2025