Une histoire troublante fait surface dans la région de Terrebonne, soulevant des questions importantes sur la proportionnalité des sanctions disciplinaires dans nos écoles.
Un élève de Secondaire 5, lors de sa dernière journée d’école, s’est emporté et a vidé une poubelle dans une salle de bains. Un geste certes inapproprié, mais qui relève davantage de l’impulsivité juvénile que de la criminalité.
La direction de l’école a initialement imposé neuf heures de travaux communautaires, une sanction que la mère de l’élève jugeait appropriée. Cependant, lorsque le jeune homme a voulu discuter de cette décision, espérant faire valoir son point de vue, la situation a dégénéré de façon dramatique.
Non seulement la directrice s’est montrée inflexible face à sa demande, mais elle lui a également interdit d’assister à sa propre cérémonie de remise de diplôme. Prétextant avoir « entendu dire » qu’il pourrait se faire huer, elle affirme vouloir le protéger. Cette décision prive le jeune d’un moment symbolique crucial de son parcours scolaire, laissant sa famille sous le choc.
Les conséquences ne s’arrêtent pas là. L’élève, qui avait réussi à se qualifier dans une équipe de hockey triple A post-secondaire, vient de voir son contrat résilié. Sa passion et son avenir sportif sont ainsi compromis pour avoir vidé une poubelle.
Cette affaire, relayée par @elo.veut.savoir sur TikTok, soulève des questions légitimes sur l’abus de pouvoir et la proportionnalité des sanctions. Transformer un geste d’impulsivité adolescente en une punition qui hypothèque l’avenir d’un jeune homme ressemble davantage à de l’acharnement qu’à de la justice éducative.
@elo.veut.savoir Situation totalement injuste dans une école de Terrebonne. Partagez si cela vous choque aussi.